Saeko était enfin arrivée dans ce fameux pensionnat. Bien sûr lors de son arrivée, elle s’était toute discrète. Elle avait vu le Hall remplit de monde et cela l’avait effrayée. Elle avait horreur des gens, du monde, elle préférait de loin les endroits tranquilles, calmes, isolés. Elle avait été faire un tour dans la cour du pensionnat et avait observé les environs, elle avait déjà repéré quelques endroits où elle pourrait s’installée tranquillement. Cela la rassurait de savoir qu‘ils y aurait des endroits où elle pourrait se reposer et penser tranquillement sans avoir la pression des cours. Bien que cela sera un tantinet difficile étant donné qu’elle se trouvait dans le pensionnat où avait lieu ses cours. Tout cela semblait si compliqué -_-’.
Une fois arrivée au pensionnat, avec sa valise, elle se dirigea vers le secrétariat et on lui indiqua le chemin pour aller jusqu’au dortoirs. Cet établissement ressemblait déjà à un labyrinthe pour elle. Une fois son chemin trouvée, elle se retrouva devant un couloirs remplit de portes à chaque côtés. Sans savoir pourquoi, elle décida de se retournée vers la première qu’elle vit, qui était aussi la première à l’entrée du couloir, celle-ci était entrouverte. Elle frappa alors, si elle était entrouverte c‘était que quelqu‘un devait s‘y trouvé nan ? Et puis, ce n‘était pas dans ses habitudes de ne pas frappé, elle avait été bien élevé malgré tout. Quelqu‘un lui répondit de l‘autre côté. Saeko poussa doucement la porte et entra doucement, restant sur le seuil. Elle regarda d‘abord se qui se trouvait devant elle, c’est-à-dire des lits. Puis elle balaya la chambre du regard, cherchant la personne qui s‘y trouvait. Elle la trouva alors, c‘était une jeune fille qui semblait avoir son âge et qui avait de très beau yeux. Elle la regarda quelques secondes, pas plus, elle n‘arrivait pas à soutenir le regard de quelqu‘un, c‘était dans ses habitudes malheureusement. Elle baissa la tête et prit enfin la parole :
" Excuse-moi … C’était pour savoir si … Il restait encore de la place dans cette chambre ? "
Sa voix était douce et mal assurée. Elle réfléchit alors après avoir parler. Une chose lui vint à l‘esprit, elle fut confuse:
" Sauf si tu veux restée seule bien sûr ! "
S‘empressa-t-elle d‘ajoutée. Cela ne la dérangerai pas elle d‘être seule, au contraire. Mais, il fallait sûrement faire de la place pour les autres pensionnaires alors, il allait falloir ce serrer dans les chambres, comme convenue.